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La couverture du Centre de stockage de la Manche, aujourd’hui et demain

Des vagues de gazon, un tapis vert déployé sur 12 hectares : vu d’avion, le Centre de stockage de l’Andra dans la Manche (CSM) ressemble plus à un terrain de golf qu’à un site industriel. Au-delà de son apparence bucolique, cette prairie ondulée est la partie végétale d’une couverture multicouches de plusieurs mètres d’épaisseur qui, depuis près de trente ans, protège et isole les ouvrages abritant les colis de déchets radioactifs. Élément central du dispositif de sûreté du centre de stockage, cette couverture étanche fait l’objet de plusieurs années de recherche et continue d’être scrutée à la loupe. De quoi est-elle constituée ? Comment est-elle entretenue ? Pourquoi est-elle surveillée ? Que va-t-elle devenir ? Le point dans ce dossier.

Des premiers ouvrages à leur couverture

La mise en place de la couverture du Centre de stockage de la Manche (CSM) dans les années 1990 a été une première mondiale. Retour sur l’histoire de cette barrière de protection pionnière en son genre.


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Les dessous de la couverture du Centre de stockage de la Manche

La pelouse verte de la couverture recouvre un dispositif de protection composé de multiples couches. Plongée au cœur de cette barrière protectrice.


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Une couverture sous surveillance

Élément central de la sûreté du Centre de stockage de la Manche (CSM), la couverture fait l’objet d’une surveillance régulière de la part de l’Andra. Repères topographiques, prélèvements, mesures et contrôles visuels permettent de s’assurer de sa stabilité et de son imperméabilité.


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Quel avenir pour la couverture du Centre de stockage de la Manche ?

La surveillance, l’entretien et les travaux menés par l’Andra permettent de s’assurer du bon comportement de la couverture du Centre de stockage de la Manche (CSM). Aujourd’hui, on observe que les talus ont tendance à glisser lentement. C’est pourquoi l’Andra doit réaliser un certain nombre de travaux et démontrer que le centre est prêt pour entrer en phase de surveillance.


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