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Portraits de salariés
Elles et ils sont ingénieur·es, chercheur·es, technicien·nes, géologues, comptables, etc. et exercent leur profession dans des domaines très varies. Les femmes et les hommes de l'Andra vous font découvrir leur métier.
Depuis douze ans, Roxane Calmettes est technicienne en mesures nucléaires au laboratoire d'analyses du Centre de stockage de l'Andra dans l'Aube. Chaque année, elle analyse des milliers d'échantillons pour détecter d'éventuelles traces de radioactivité. Une vocation découverte pendant ses études.
Depuis 2011, Cédric Antoine est opérateur au Poste de commande centralisée (PCC) du Centre de l’Andra en Meuse/Haute-Marne. Chaque jour, il s'assure que les salariés et les visiteurs accèdent aux installations souterraines en toute sécurité et se tient prêt à lancer les procédures d'intervention adaptées en cas d'incident.
En marge de la majeure partie des déchets radioactifs stockés dans les centres industriels de l’Andra dans l’Aube, certains sont considérés comme « non standards », par leur taille, leurs caractéristiques radiologiques, etc. La mission de Maëva Quouillault ? Leur trouver une solution de prise en charge adaptée, sans transiger aux exigences de sûreté et de sécurité des installations de stockage.
« Choisis un métier que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie », disait Confucius. Philippe Callewaert, électrotechnicien aux centres industriels de l’Andra dans l’Aube, a suivi ce précepte à la lettre, et cela lui a réussi ! Après 47 ans de carrière, son enthousiasme est intact.
Analyser, comprendre et prévoir le comportement des eaux souterraines autour des centres de stockage de déchets radioactifs est essentiel afin d’évaluer l’impact sur la ressource en eau. C’est le rôle de Sandra Jenni, hydrogéologue et spécialiste de la simulation numérique des écoulements des eaux souterraines à l’Andra. Rencontre.
Marin pendant sept ans, Fabien Briand a eu envie de retrouver la terre ferme, la diversité des rencontres et des échanges humains. Il est désormais technicien en radioprotection au Centre de stockage de l’Aube, un métier riche en interactions, dans lequel il s'épanouit.
Au Centre industriel de regroupement, d’entreposage et de stockage (Cires) de l’Aube, comme sur tous les autres sites de l’Andra, la sécurité est une affaire sérieuse. Toutes les entreprises extérieures qui travaillent sur le Cires doivent disposer d'un plan de prévention des risques conçus par Chloé Petit, ingénieure sécurité et radioprotection. Une mission qu’elle remplit avec rigueur et pédagogie.
Outil de transparence, d’information et d'aide à la décision, l'Inventaire national des matières et déchets radioactifs caractérise la mission de service public de l'Andra. Son élaboration demande un long travail de rigueur et de précision au sein des équipes de l'Agence. Antoine Blondel, ingénieur Inventaire national, est justement au cœur du dispositif pour suivre à chacune des actions qui vont conduire à sa publication. Il nous raconte son métier.
Depuis 2014, Carole Villeneuve est assistante. Son équipe et elle travaillent sur Cigéo, un projet qui la passionne autant que les contacts humains qui l’ont fait choisir ce métier.
Afin d’être stockés en toute sûreté dans Cigéo, le projet de stockage géologique pour les déchets les plus radioactifs, les déchets de haute activité (HA) font l’objet d’un conditionnement spécifique. François Vassallo, ingénieur spécialiste du soudage de pièces complexes, contribue au développement des conteneurs de stockage HA.
Cheffe du Centre de Meuse/Haute-Marne depuis octobre 2021, à la tête d’une équipe d’une centaine de personnes, Emilia Huret n’a pas oublié sa formation de géologue, comme en témoignent les cailloux qui décorent son bureau. Retour sur un parcours entre science, gestion de projet et management.
À l’Andra, Michaël Fauquet recense et évalue les impacts potentiels du projet Cigéo sur l’environnement. Son rôle : apporter les garanties aux services de l’État, mais aussi au grand public, que tous seront limités, quand ils ne pourront être totalement évités et, le cas échéant, compensés. Un travail de fond essentiel pour l’avancée du projet et l’obtention des autorisations nécessaires pour certains travaux.
Estelle Rigollet apporte son expertise technique aux projets de travaux du Centre de stockage de l'Aube et s'assure que les infrastructures du centre résistent aux aléas climatiques extrêmes. Deux missions plus complémentaires qu'elles n'en ont l'air.
Matériaux, conteneurs, caractéristiques des déchets… Avant d’être acceptés à l’Andra, les colis de déchets doivent répondre à des spécifications très précises pour garantir la sûreté du stockage. Maxime Robira veille sur cette étape clé du parcours des colis.
Marie Maertens, docteure en géologie, a toujours cherché à concilier deux passions : les sciences et les cultures étrangères. Deux moteurs qui l’ont menée au poste de chargée de relations institutionnelles à l’international de l’Andra. Portrait.
Ingénieur creusement et ventilation au Laboratoire souterrain du Centre de Meuse/ Haute-Marne, Anthony Garnier connaît les galeries sous toutes leurs coutures. Le fil conducteur de sa carrière ? Sa passion pour la technique et sa curiosité.
Chargée de communication au Centre de Meuse/Haute-Marne, Audrey ne participe pas à l’élaboration de Cigéo, mais elle en parle ! Animée par sa passion de longue date pour les sciences de la terre et sa fascination pour le projet souterrain, elle remplit pour l’Andra une mission essentielle, auprès du grand public comme des journalistes.
Arrivé à l’Andra en 1991 au Centre de stockage de la Manche (CSM), Franck Duret est chef des centres industriels de l’Andra dans l’Aube (CI2A) depuis octobre 2021. Retour sur les 30 ans de carrière d’un amoureux de la technique devenu manager, toujours prêt à relever de nouveaux défis.
Passionnée de physique nucléaire, Elvina Blot est une professionnelle de terrain. À la tête du service exploitation des centres de l’Andra dans l’Aube, elle orchestre la prise en charge de l’ensemble des colis de déchets livrés par les producteurs. Ses principaux leitmotivs ? L’optimisation des process et le sens du service public.
François Leveau est ingénieur maîtrise d’œuvre scientifique au Centre de l’Andra en Meuse/Haute-Marne (CMHM). Derrière cet intitulé officiel, se cache une mission essentielle : trouver le parfait équilibre entre les besoins des scientifiques et les contraintes du Laboratoire souterrain de l’Andra, et orchestrer le travail des nombreux intervenants afin que les expérimentations menées pour préparer le projet de stockage géologique se fassent dans les meilleures conditions.
Marie-Pierre Germain s’emploie à maintenir active la mémoire du Centre de stockage de la Manche (CSM), site pionnier en matière de gestion de déchets radioactifs. Sa recette ? Faire connaître et faire venir le plus grand nombre de visiteurs sur le CSM
La sécurité d’un site à moins 490 mètres sous terre comme le Laboratoire souterrain du centre de l’Andra en Meuse/Haute-Marne ne laisse rien au hasard : la maîtrise des risques est un préalable à tout ce qui s’y passe. Jour après jour, une équipe veille à ce que collaborateurs de l’Andra et intervenants extérieurs travaillent dans les meilleures conditions, pour leur sécurité et celle du site. Rencontre avec Vincent Toussaint, ingénieur sécurité, au sein du service Protection et prévention des risques. Un métier qui demande rigueur, curiosité, ténacité et persévérance.
Architecte de formation, Émilie Bernard est la BIM (Building Information Modeling) manager de l’Andra. En bref, elle conçoit et coordonne la maquette 3D du projet de centre de stockage géologique pour les déchets radioactifs les plus dangereux, Cigéo, en s’appuyant sur les données produites par les différentes équipes de l’Agence. Une cheffe d’orchestre 4.0 doublée d’une pédagogue agile et avertie, au carrefour de tous les métiers de l’Andra
Spécialiste en surveillance des installations nucléaires depuis 30 ans, Vincent Lelaidier a rejoint les équipes de l’Andra il y a un presque deux ans comme technicien de suivi des modifications et mesures au sein du Centre de stockage de la Manche (CSM). Un poste qui lui permet de mettre toute son expérience passée à profit et d’apprendre, encore et toujours.
Virginie Gobron est chargée d’affaire pour la surveillance radiologique du Centre de stockage de l’Aube. Dans le cadre de sa mission, elle s’assure que l’impact lié aux activités du centre reste le plus faible possible sur l’Homme et l’environnement, et dans le respect des limites définies par la réglementation. Plus qu’un métier, un véritable engagement.
Faire une soudure ou du béton, nettoyer des galeries souterraines ou veiller à la sécurité d'un groupe de visiteurs, faire de la surveillance ou organiser un chargement de matériel… Romuald Gougelet accomplit de multiples tâches au Laboratoire souterrain de l’Andra en Meuse/Haute-Marne. En tant qu’ « opérateur de conduite centralisé, carreau et fond », il nous dévoile les dessous du Labo et de son métier.
Pour mener à bien sa mission d’intérêt général, l’Andra fait appel à des entreprises externes aussi diverses que variées. Leur acheter des prestations de service, de travaux ou encore des fournitures, c’est le travail de Maïté Gilles, ingénieure achats. Chargée de décrire les besoins de l’Andra, d’évaluer et de négocier les meilleures offres… Son métier est essentiel au bon fonctionnement de l’Agence. Il requiert beaucoup de rigueur et un vrai sens de l’écoute.
Depuis février 2021, le nouveau directeur du Centre de stockage de la Manche (CSM), c’est lui. Ancien ingénieur sûreté colis du Centre de stockage de l’Aube, Julien Recarte prépare le CSM à relever ses futurs défis. Portrait d’un manager serein et enthousiaste.
La cryogénisation, autrement dit la conservation par utilisation du froid, est au cœur du travail de Natacha Arnould, éco-technicienne à l’Observatoire pérenne de l’environnement de l’Andra. Une mission aux multiples facettes que la jeune femme nous fait découvrir avec enthousiasme.
Dans l’Aube, au Centre industriel de regroupement, d’entreposage et de stockage (Cires) de l’Andra, Guillaume Gillet est responsable d’exploitation du bâtiment de regroupement/ tri/traitement des déchets radioactifs issus d’activités non électronucléaires. Une installation clé, qu’il a vu naître et grandir. Et dont il est fier…
Le hasard de la vie fait parfois bien les choses. Et Nicolas Garnier, responsable de l’administration des ventes à l’Andra, sait qu’il faut saisir sa chance. Son aventure à l’Agence ? C’est dans une salle de formation qu’elle a commencé…
Pas de montures, ni d’armures pour ces deux chevaliers… mais des masques et parfois des combinaisons blanches à enfiler pour aller sur les chantiers. Mener à bien les opérations d’assainissement de sites pollués par la radioactivité, c’est le rôle d’Odile Couétard.
Quand il s’agit de parler de lui, Grégory Waz botte quelque peu en touche… Mais sa mission est pourtant essentielle : mener à bien des travaux au Centre de l’Andra en Meuse/Haute-Marne (CMHM). Ce qu’il fait chaque jour avec beaucoup d’implication.
Après avoir parcouru le monde, Michel Hayet est devenu géophysicien au Centre de Meuse/Haute-Marne. Il s’y emploie à affiner la connaissance des caractéristiques physiques et géologiques du site destiné à accueillir Cigéo.
Savez-vous que le Centre de l’Andra en Meuse/Haute-Marne héberge plus de 65 000 carottes ? Pourtant, l’Andra ne s’est pas lancé dans l’agriculture intensive des légumes… Ce que l’on appelle « carottes », ce sont tous les échantillons de roche prélevés à l’intérieur et autour du Laboratoire souterrain. Claude Aurière, responsable de la carothèque, veille sur un patrimoine scientifique exceptionnel depuis plus de quinze ans.